En réponse à l’article :
Contre l’austérité, la désobéissance civique ?
Gérer une grande ville populaire dans cette société injuste et violente est un défi. Pour près d’un Vénissian sur trois, c’est la pauvreté et la précarité qui font le quotidien, et pour tous les Vénissians, ce sont les inquiétudes sur l’avenir des enfants, la santé, l’accueil des anciens, les incivilités et les trafics qui progressent, et ce monde de plus en plus fou qui multiplie les guerres et les réfugiés.